« Après ma blessure et avec la direction que je veux donner à ma carrière, la façon avec laquelle je veux me préparer en dehors des parquets, je veux quelque chose de plus naturel pour me soulager, contrairement à des opioïdes ou des médicaments. Avec le cannabis, c’est naturel. »
A propos du CBD et de la rééducation :
« Cela m’a aidé à dormir. Je dors huit heures par nuit désormais, et j’en ai besoin. Cela aide mes performances aussi, ainsi que pour mes douleurs corporelles que j’avais au quotidien. »
Il est cependant bien conscient de l’image négative du cannabis et des inquiétudes que certains peuvent exprimer à voir des sportifs professionnels en faire la promotion. Mais il assure vouloir casser ces préjugés.
« La stigmatisation vient du fait que c’est une drogue, que l’on fume. Mais il y a tellement de formes différentes, que ce n’est pas obligatoire de le fumer. Ça peut être de la crème, des comprimés ou de la lotion. C’est une façon naturelle de se soigner, même si je comprends que cela puisse être addictif. Mais d’un point de vue personnel, c’est comme prendre de l’aspirine ou du paracétamol pour un mal de tête ou des courbatures. »