Vaporisateur Lotus – Test – Guide – Conseils
Présentation
Inhale sont les créateurs du Vapman, du Vapman 2.0 et de sa station de chauffe. Le Vapman était désigné en Suisse puis fabriqué en Italie. Cette fois pour le Lotus, le design est fait en Californie, et toujours fabriqué en Italie.
CALIFORNIAN design crafted in Italy
Découverte de la bête
En plus d’avoir fait le premier Vapman, le Vapman 2.0 et sa station de chauffe, Inhale sont aussi derrière un autre appareil, le Lotus. On reste dans les vaporisateurs mécaniques avec cette fois un cap avec une jolie fleur métallique, c’est sur elle qu’on vient appliquer la flamme en son centre. Un adaptateur 14mm vient se mettre en dessous, ce qui permet de mettre le bloc sur le tube en verre du Lotus qui est en forme de pipe.
Tout est toujours très fin, millimétré, c’est propre, on sent le désir de perfection encore une fois.
J’avoue qu’instinctivement, j’ai eu envie de remplir directement la chambre de l’embout buccal directement sur la pipe (voir vidéo ci-dessous). Ce qui m’a aussi donné envie d’avoir un socle pour poser le lotus. Je maintiens ce que je pense, mais il est vrai que démarrer la session avec l’appareil démonté, et remplir le bol seul, ça marche aussi très bien (comme l’indique la marque).
Utilisation
Le rituel de chauffe traditionnel de type pipe rend le Lotus très facile et intuitif à utiliser.
Le chauffage est si simple que le contrôle de la température est inutile, il est instinctivement contrôlé par la vitesse de tirage… Le Lotus est un instrument ; vous apprenez à jouer avec et à développer la technique qui vous offre l’expérience de vapotage ultime.
Ne vous embêtez pas avec des piles et des appareils électroniques fragiles ; essayez le Lotus et laissez-vous convaincre.
Étant diminué au niveau des poumons, j’ai compris rapidement qu’il fallait que je préchauffe au plus possible. Je fatigue assez vite si j’inspire trop vite ! En tout cas, ça fait vraiment vapo-pipe quoi. Je me souviens encore quand j’ai mis pour la première fois mon Dynavap sur un bang. Je disait que ceux qui sortent comme un plateau de chauffe, ça va être une dinguerie. Et bien, je crois que c’est ça qu’on a entre les mains avec les Lotus.
D’ailleurs cette possibilité, de pouvoir trimballer tout sauf la pipe, c’est pas mal du tout. Monté sur un bang à la maison, ça fait grave le taf, et ça donne à la verrerie plus de stabilité et de solidité.
Sur un bureau où je travaille, j’ai plus confiance avec mon bang bien épais qu’avec la pipe du Lotus que, je vais être honnête, je crains casser un jour sans faire exprès.
Le Lotus devient, grâce à cette possibilité, un vaporisateur portable intéressant. Imaginez que vous faites un tour et passez chez plusieurs amis, s’ils ont tous un bang, votre Lotus aura son utilisation sur place. Il devient un peu comme une douille de vapo quoi, banger.
Autre gros plus de l’appareil, le nettoyage. Les seules parties qui se salissent sont le bol et son dessous menant à la verrerie. Les deux sont complètement métalliques, donc un coton tige, de l’alcool, un coup de main et le tour est joué.
En apprenant à m’en servir, je me suis fait tousser tout comme je me suis déçu à tirer sans rien avoir. Entre la vidéo unboxing et découverte, et là que j’écris le test, j’avoue avoir déjà step-up dans mon utilisation du Lotus. En fait, ce qu’il faut dompter et adapter à soi, c’est la préchauffe. Son temps, sa puissance, une fois que c’est calibré dans votre tête, il est incroyable. C’est un banger aussi, comme le Vapman 2.0 (lien de la critique). Même si j’avoue, ils ne remplissent pas du tout le même rôle. Et tant mieux.
Démonstration Vidéo vaporisateur Lotus
Conclusion vaporisateur Lotus
Je dois dire que le Vapman 2.0 comme le Lotus, je leur trouve à chacun une versatilité et une polyvalence assez folles. Je m’explique.
Le Vapman 2.0, reste un Vapman, sans sa station de chauffe, vous avez votre briquet torche, et il s’utilise partout comme le premier. Avec où sans adaptateur, il s’utilise même sur les bangs. Avec la station de chauffe, l’appareil coche directement des cases de vaporisateur de salon. Déjà la station, qui doit être branchée, mais aussi l’utilisation derrière. Une fois chaud, on tire, on le replace, et il adopte dès la première chauffe une vitesse de croisière. Ce qui permet de vite pouvoir le reprendre. Ces va-et-vient entre notre main et la station permettent un ping-pong assez intéressant. On peut tout autant enchainer notre session et consommer tout le bol d’un échange. Comme on peut prendre le temps entre chaque, car la veille ne se met pas tout de suite en route.
Le Lotus, est de base, un vapo pipe. Les amateurs de pipes dont je fais partie vont aimer. C’est un vrai plaisir de tenir le Lotus tel un aristocrate de la vape, devant Netflix ou votre petit zapping Hempspresso. La versatilité de la bête du coup, c’est son design, son format. Contrairement aux embouts Dynavap-like, là, on chauffe un plateau, comme une douille de bang fermée. Sans le tube « pipe », le Lotus c’est une douille en métal spéciale vaporisation, le tout avec un chapeau qui fait plateau. Je me répète, mais banger. Ultrabanger.
Des bonnes idées, bien exécutées, tout ce que j’aime
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